Mon Malheur Fut Mes douleurs
Déjà tout jeunes , mes amis et moi y croyaient déjà
Même si nos parents nous disaient le contraire que ça existait pas
Moi et mes vieux compères pourtant y croyions dur comme fer
Mais tant que chez nos parents nous vivions nous devions écouter et nous taire
Quand les années passèrent J'en eu marre de me taire
La seule chose qui me resta à faire était celle de préparer mes affaires
De partir loin de mon père et de ma mère
Le 18 septembre je partis pour l'aventure en laissant derrière moi que des souvenirs
Partir vers l'inconnu peut paraitre farfelu
Mais si c'est que pour la vue
On peut dire que pour moi c'est pas le cas
Juste partir pour ne plus subir, partir pour renaitre à un autre endroit
Je ne peux pas dire ce qui va m'arriver
Mais je sais qu'on n'est pas prets de revenir
Maman ce n'est rien contre toi mais juste papa qui n'arrête pas de crier
Marre de te voir souffrir ou pleurer ou bien même te faire frapper
Je te promets que plus tard je reviendrais
Une fois grand, je lui ferais regretter pour ce qu'il nous a fait
Mais j'espère que tu pourras comprendre que j'ai besoin de partir
Je sais bien que tu ne pourras pas lire ce que j'écris mais chaque nuit pour toi je prie
Le soir ça me hante de t'avoir laissé avec lui seule
Mais je sais que tu arriveras je ne m'inquiète pas, j'espère juste qu'il ira vite dans le cercueil
Tu méritais tellement mieux que lui, pour moi tu as fait ce choix je le sais t'inquiète pas tu éprouveras un jour du bonheur
Mais un beau jour nous rirons ensemble de nos malheurs qui à l'époque nous perforaient le coeur
Les année passèrent, Il était tant pour moi d'aller voir ma mère
Une fois sur le seuil de la maison je vis mon père à coté de la cuisinière
J'eus beau chercher partout mais aucun signe de ma mère
La porte s'ouvrit et mon père me dit "Déjà 5 ans qu'elle est partie"
Me souffle se coupa , mes mains tremblèrent et mes larmes coulèrent
Mon père compris ferma la porte et s'assis, en face de moi il y avait la plante qu'avait planté ma mère
Je pris la route du cimetière pour lui rendre une dernière prière pour qu'elle puisse quitter cette terre
Sur sa tombe il y avait marqué " Mon fils sache que je n'ai jamais arrêté de t'aimer, ta mère qui t'aime et qui n'a jamais douté "
Le bouquet de roses tomba de mes mains
En regardant vers la tombe de ma mère je vis son esprit qui prit ma main
Elle me dit avec une voix douce et frêle " Maintenant que je t'ai vu je peux partir en laissant sur terre mes malheurs"
L'esprit disparut dans la brume me laissant seul devant la tombe sombre sans couleur
Mon bonheur se changea en malheur
Puis mon malheur fut mes douleurs
Sur le chemin de la liberté