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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 18:37

Mon Malheur Fut Mes douleurs

 

Déjà tout jeunes , mes amis et moi y croyaient déjà 

Même si nos parents nous disaient le contraire que ça existait pas 

Moi et mes vieux compères pourtant y croyions dur comme fer 

Mais tant que chez nos parents nous vivions nous devions écouter et nous taire

 

Quand les années passèrent J'en eu marre de me taire

La seule chose qui me resta à faire était celle de préparer mes affaires 

De partir loin de mon père et de ma mère 

Le 18 septembre je partis pour l'aventure en laissant derrière moi que des souvenirs 

 

Partir vers l'inconnu peut paraitre farfelu  

Mais si c'est que pour la vue 

On peut dire que pour moi  c'est pas le cas 

Juste partir pour ne plus subir, partir pour renaitre à un autre endroit 

 

Je ne peux pas dire ce qui va m'arriver

Mais je sais qu'on n'est pas prets de revenir

Maman ce n'est rien contre toi mais juste papa qui n'arrête pas de crier

Marre de te voir souffrir ou pleurer ou bien même te faire frapper   

 

Je te promets que plus tard je reviendrais

Une fois grand, je lui ferais regretter pour ce qu'il nous a fait 

Mais j'espère que tu pourras comprendre que j'ai besoin de partir 

Je sais bien que tu ne pourras pas lire ce que j'écris mais chaque nuit pour toi je prie 

 

Le soir ça me hante de t'avoir laissé avec lui seule 

Mais je sais que tu arriveras je ne m'inquiète pas, j'espère juste qu'il ira vite dans le cercueil 

Tu méritais tellement mieux que lui, pour moi tu as fait ce choix je le sais t'inquiète pas tu éprouveras un jour du bonheur 

Mais un beau jour nous rirons ensemble de nos malheurs qui à l'époque nous perforaient le coeur 

 

Les année passèrent, Il était tant pour moi d'aller voir ma mère 

Une fois sur le seuil de la maison je vis mon père à coté de la cuisinière   

J'eus beau chercher partout mais aucun signe de ma mère 

La porte s'ouvrit et mon père me dit "Déjà 5 ans qu'elle est partie" 

 

Me souffle se coupa , mes mains tremblèrent et mes larmes coulèrent 

Mon père compris ferma la porte et s'assis, en face de moi il y avait la plante qu'avait planté ma mère 

Je pris la route du cimetière pour lui rendre une dernière prière pour qu'elle puisse quitter cette terre 

Sur sa tombe il y avait marqué " Mon fils sache que je n'ai jamais arrêté de t'aimer, ta mère qui t'aime et qui n'a jamais douté " 

 

Le bouquet de roses tomba de mes mains 

En regardant vers la tombe de ma mère je vis son esprit qui prit ma main 

Elle me dit avec une voix douce et frêle " Maintenant que je t'ai vu je peux partir en laissant sur terre mes malheurs"

L'esprit disparut dans la brume me laissant seul devant la tombe sombre sans couleur 

 

Mon bonheur se changea en malheur 

Puis mon malheur fut mes douleurs 

 

Sur le chemin de la liberté 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 18:36

Un rêve brisé

 

Dans un monde comme le notre où la haine et la violence sont reines 

Et où les personnes cachent leur foi on se dit que l'on n'a pas le choix 

Des fois l'homme et la femme ne se complètent pas et ça colle pas 

Un homme avec un autre ça choque mais pourquoi?

Une femme avec une autre ne se fait pas à savoir pourquoi?

  

Un enfant vint près de moi et s'assoit 

De sa petite voix me dit doucement pourquoi? 

De ses yeux les larmes coulent sans que je comprenne pourquoi 

Puis il repart dans le froid comme une idée 

Ou un doux rêve qu'on venait de briser 

 

J'etais perturbé , apeuré et déboussolé mais je continuais

Où je ne pourrais l'avouer mais je pense vers un endroit reculé 

Un lieu où les gens sont comme il sont nés et personne pour les insulter

Un endroit où les hommes peuvent s'aimer sans se faire montrer

Les femmes admirées par des femmes attirées

Un endroit où on respecte les choix et les attirances montrés

 

Mon banc était dur comme de la pierre 

Mes pensées disparaissaient dans la clairière 

J'étais devant un cimetière 

Le jeune garçon aussi sur une tombe près de moi 

il était mort depuis le mois de janvier 

 

Il avait 23 ans , il était infirmier 

Il est mort de quoi vous allez demander 

Pourquoi il m'avait demandé 

Pourquoi il disait Pourquoi il m'ont pas accepté

Un ami, un proche, une connaissance tout le monde et concerné 

 

Il s'appeler Gaetan et il était gay 

Il ne supportait plus d'être jugé et s'est suicidé 

Il est parti comme un murmure, une idée , un doux rêve brisé

 

 

Sur le chemin de la Liberté 


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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 15:11

 

 

La nuit à peine tombée dans mon trois pièces je me sens abandonné 

J'ai beau chercher quelqu'un qui pourrait être à mes côtés mais j'ai jamais trouvé

Sur mon Ordinateur je pense, j'ai peur 

Je meurs seul de l'intérieur  avec mon ordinateur 

 

Vue l'heure je pourrais dormir Mais l'envie m'en manque 

Légèrement perturbé je me dis qu'il faudrait me coucher 

C'est là au bout de dix minutes qu'il débarque 

Je n'ai pas vu l'heure passer il est déjà Sept heures et je dois me doucher 

 

Le matin est au rendez vous 

je ne sais pas vous 

mais personnellement même si je me dévoue  

Toute la nuit jusqu'au matin je reste debout 

 

Comme une envie de partir de ne plus être là 

Ne jamais dormir , ne jamais avoir un " je t'aime mon coeur "

Tout ça me brise le coeur et c'est pour ça que je pleure 

La nuit je dors pas je reste là et je pense à toi 

 

Dans ma tête ça raisonne , ça pardonne 

Mais au fond de moi ça frissonne 

Comme si je n'étais pas à ma place 

Simplement comme si je n'étais qu'une tache 

 

Une fois la nuit finie

je posais mon ordi 

je prenais une douche 

Pas un mot retentit , pas de son résonne 

Il n'y a personne dans l'appartement monotone 

Personne s'est rendu compte que je suis mort depuis l'automne 

 

 

Sur le chemin de la liberté

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22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 12:00


Marchant vers la digue où le vent souvent murmurait
Tout plein de choses plus extravagantes les unes que les autres je restais bouche bée 
Déjà le vent Murmurait me semble-t-il abusait mais si en plus il fayotait juste imaginez
Coïncidence , non juste Une légère déficience qui je crois est restée 

Le vent me parait et moi grand fou je répondais 
Au loin on apercevait deux amis discuter
Moi et le vent nous nous sommes demandé si on les connaissait 
Le vent formel m'ôta le doute et la conversation ne pouvait que continuer 

Une fois fini le vent me dit 
Aurevoir mon ami et partit 
Je n'avais rien compris 
Suis-je fou ou maudit ? 

L'histoire n'est strictement pas finie 
Apres le vent vint la pluie 
On peut dire que ma journée était pour l'instant bien remplie 
La pluie soudain me dit "que fais tu la mon ami"

Moi avec un air surpris , seuls quelques mots sortirent 
"Vous dites mon ami mais pouvez vous vraiment affirmer qu'on se connait ? " 
La pluie rit et n'eut pour seule idée de se moquer 
D'un air vexé je suis parti loin pour me réfugier 

Une fois parti je me suis dit 
Seul un fou peut parler à la pluie 
Et c'est la que je me dis et puis tant pis 
Suis-je fou ou maudit

Je songé a ce que j'avais vécu 
Je ne trouvais pas de mots pour ça 
Juste une petite idée inconnue 
Toujours tout droit vers moi je me demandais pourquoi 

Je compris ce qui m'était arrivé 
Peu de temps après 
Suis-je fou ou maudit
Non juste je m'étais assoupis 

Vers le chemin de la liberté

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Franck Smallt

  • : La Vie En Poésie
  • : Ici se trouvent Mes meilleurs textes et poèmes. Cordialement Franck
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